Quincieu

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Quincieu
Quincieu
Vue générale sur le village en février 2019.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté
Maire
Mandat
Lauriane Albertin
2020-2026
Code postal 38470
Code commune 38330
Démographie
Gentilé Quincerot
Population
municipale
104 hab. (2021 en augmentation de 0,97 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 16′ 35″ nord, 5° 23′ 10″ est
Altitude Min. 480 m
Max. 771 m
Superficie 4,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud Grésivaudan
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Quincieu
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Quincieu
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Quincieu

Quincieu est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La commune appartient à la communauté de communes de Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté. Dans le canton de Tullins jusqu'en 2015, Quincieu se situe depuis le nouveau découpage territorial de l'Isère dans le canton du Sud Grésivaudan. Les habitants sont appelés les Quincerots.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et description[modifier | modifier le code]

Quincieu se trouve au milieu des collines[1], à 45 km à l'ouest de Grenoble, sur les hauteurs de Vinay.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire communal s'étend sur la partie orientale du plateau de Chambaran, lequel est constitué d'une ossature en molasse miocène, recouverte en grande partie par un placage de terres argilo-limoneuses ou argilo-sableuses[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Le territoire des communes de Vatilieu, Quincieu, Cras et La Forteresse forment un quadripoint au sud de cette dernière commune.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par plusieurs cours d'eau, comme Le Rival et le Ruisseau du bourg.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 135 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Transport et voies de communication[modifier | modifier le code]

Le Col de Lachard (695 m), sur la route départementale 154, est fréquenté par les cyclistes. Avec plusieurs arrêts, Quincieu est desservie par les cars Transisère des lignes VIN01 "Quincieu-Serre Nerpol-Vinay" et PVINA "Primaire Quincieu-Vinay".

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Quincieu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

En 2014, la révision de la délimitation des zones vulnérables en Isère a conduit au classement de 14 communes supplémentaires dans la zone vulnérable « nitrates » selon le critère « risque d’eutrophisation », dont Quincieu[14]. La révision des zones vulnérables est en cours (juillet 2016) et le déclassement envisagé[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,2 %), zones agricoles hétérogènes (33 %), forêts (30,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de La Forteresse , présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[17].

  • La Combe (chef-lieu du village)
  • Blanchettat
  • Bois Rond
  • Bour
  • Champ Floux
  • Chassillon
  • Combe Enardon
  • Combe Noire
  • Derriere Lachard
  • Grand Quincieu
  • Grand Sabot
  • la Combe
  • la Croix du Fau
  • la Fayardaz
  • la Grande Maison
  • la Mat
  • la Perulat
  • la Roche
  • le Clocher
  • le Cognet
  • le Gey
  • le Pinatet
  • le Tivolet
  • les Ayes
  • les Ferrieres
  • les Gey
  • les Montees
  • les Serves
  • les Taillis
  • Manissole
  • Montalivet
  • Paradis
  • Pecoulet
  • Pied Froid
  • Pilandrey
  • Pinatet
  • Pré Magdelon
  • Valettes
  • Vonezi

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Quincieu est situé en zone de sismicité n°3, en limite de la zone n°4 (sur une échelle de 1 à 5) qui se situe vers le centre et le sud-est du département de l'Isère[18].

Terminologie des zones sismiques[19]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponymie de la commune dérive probablement du nom masculin romain Quintus[1], "Cinquième" en latin, peut-être le nom d'un légionnaire romain à qui César accorda de la terre sur la commune[20].

Sur une carte datée de 739, Quincieu est dénommée Quintiaco[21]. En 1069 on trouve Quinciaco[22] et dans le même siècle aussi ''Quineiaco[1]. Au XIIIe siècle on trouve Quince, Quincer, Quinceuz et Quincef. Au XIVe siècle, Quinsier et Quinezanis[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Entrée de Quincieu en 2019

Quincieu est une commune éloignée des grands faits historiques de la région, au point que dans l'Histoire des communes de l'Isère elle est décrite comme un lieu : « loin de tout et l'histoire l'a oublié, et nous avons oublié son histoire »[20]. Cependant, son histoire est ancienne.

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Des vestiges d'époque romaine ont été découvertes à plusieurs reprises au lieu-dit Ville-Chanflou : « des pièces, médailles, poteries, outils ». Le site romain fut probablement détruit par les Sarrasins au VIIIe siècle, mais le lieu-dit n'a pas encore été fouillé de façon systématique. D'autres vestiges, telles que des armes, ont été trouvées à la Combe des Sarrazins. Selon une légende, un tumulus au lieu-dit du Coin cacherait encore les épouilles de soldats romains[20].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au VIIIe siècle, la villa de Quincieu se trouve dans l'episcopatus de Grenoble et le pagus de Sermorens, et appartient le mandement de Saint-Geoirs, où il y a un château. En particulier, en 739 le testament de Abbon donné à l'abbaye de la Novalaise et confirmé par Charlemagne indique Quincieu et Vinay parmi les dépendances du pagus grenoblois[23]. À cette époque, Quincieu fait en tous cas partie du comté de Tullins, propriété de l'archevêque de Vienne[24].

L'église de Quincieu, bâtie il y a plus de 1000 ans, est donnée en 1069 aux moines de Cruas[20].

Au Moyen Âge il n'y a pas de châteaux forts ou des maisons fortes sur le territoire de la commune[1]. La famille de Quincieu est connue depuis le XIIIe siècle en tant que famille du bailli de Saint-Marcellin et pour sa parentèle avec une branche des Seigneurs de l'Arthaudière qui possède les terres et les châteaux de La Forteresse et de Saint-Bonnet-de-Chavagne[20].

Temps Modernes[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, Quincieu appartient au mandement de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs[25] Au XVIIe siècle, le nom de la cité est présent sur la carte de Jean de Beins[20].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Durant la période révolutionnaire, elle change de nom et s'appelle Quincieux[20].

En 1922 la petite commune organise une équipe de football, qui s'entraine et joue au col Lachard[20]. En 1970, Quincieu passe au Canton de L'Albenc avec Chantesse, Poliénas, La Fortresse et Vatilieu. Un an plus tard, l'école ferme ses portes pour manque d'écolier : les enfants du village sont envoyés à Vinay[20].

Jusqu'en 2012, Quincieu n'était adhérente à aucune communauté de communes à fiscalité propre[26], mais à compter de 2013, la commune appartient à la communauté de communes Chambaran Vinay Vercors, puis en 2017, elle rejoint la nouvelle communauté de Saint-Marcellin Vercors Isère

En 2015, le bourg central est réaménagé : sur la place de la mairie et de l'église des places de parking supplémentaires et des rampes pour les personnes à mobilité réduite sont achevés, le monument aux morts est renouvelé[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Église et mairie de Quincieu.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Quincieu est composé de sept élus (tous des hommes) dont un maire et six conseillers municipaux[28].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Roger Reynaud    
mars 2001 2008 Eric Garnier    
2014 En cours Alain Jourdan SE Cadre[29]
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 104 habitants[Note 3], en augmentation de 0,97 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
163187224210223304307345320
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
300267247206203201209221216
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
180165138142138126119109112
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
10087697573747170101
2017 2021 - - - - - - -
103104-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de Quincieu est située dans l'académie de Grenoble. En raison du faible effectif des enfants d'âge scolarisable, ceux-ci sont scolarisés dans les écoles des autres communes voisines[34].

Équipements sportifs[modifier | modifier le code]

Équipements événements culturels[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Presse régionale[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Chartreuse et Sud Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité au canton et quelquefois à la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

Culte catholique[modifier | modifier le code]

La communauté catholique et l'église de Quincieu (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint-Joseph des deux rives avec quinze autres communes de son secteur géographique. Cette paroisse est rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[35].

Économie[modifier | modifier le code]

En 1857, dans son livre sur la géographie du département de l'Isère, par rapport au Canton de Tullins, M. Brunet écrit : « Quincieux, dans les forêts de châtaigniers, produit beaucoup de blé. »[36]

Aujourd'hui encore l'agriculture joue un rôle important dans l'économie locale, en représentant 75 % du total. Notamment, les noyeraies sont nombreuses[37] et la production de Saint-marcellin, fromage labellisé IGP, est bien présente[38].

Le tourisme n'est pas développé et reste marginal. L'activité touristique de la commune ne s'organise pas autour d'un office du tourisme[26].

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église de Quincieu (vue intérieure).
  • Le bâtiment le plus remarquable de la commune est l'ancien manoir au lieu-dit La Grande Maison, à l'ouest du village, qu'on retrouve sur la carte de Cassini du XVIIIe siècle. Probablement bâti au XVIIe siècle, le manoir aujourd'hui fait partie d'une exploitation agricole[1].
  • L'église de l'Assomption de Quincieu, du XIXe siècle, dépend de la paroisse de Saint Joseph des Deux Rives (diocèse de Grenoble-Vienne)[39]. De l'ancienne église Notre-Dame, donnée par M. Avit aux moines de Cruas et à Saint-Pierre de Moirans en 1069, il n'y a pas de vestiges, elle est remaniée plusieurs fois et presque entièrement reconstruite en 1863. En 1685, elle est très sobre et pauvre. À cette époque, elle fait partie du diocèse de Vienne et est intitulée à l'Assomption de la Vierge. En 1733, l'évêque De Caulet en visite trouve l'église en meilleur état, elle s'est enrichie d'ornements. Jusqu'à la Révolution française, la paroisse de Quincieu dépend de l'archiprêtré de Vinay. À la suite, l'église reste fermée et les Quincerots vont avec difficulté entendre la messe à Serre. L'église est rouverte en 1847, comme succursale de Tullins. C'est le curé de La Forteresse qui vient dire la messe. Pour des siècles et jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, l'église de Quincieu fait l'objet d'un pèlerinage : de toute la région on vient prier la statue de Saint-Ennemond, appelé couramment Saint-Animond, pour la protection du bétail[40].
  • La salle des fêtes.
  • Le monument aux morts communal, réalisé par Eugène Tardy de Tullins[41].
  • La fontaine.
  • Le foyer rural.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Quincieu est le village natal de Gilbert Brunat qui fut une des pièces maitresses des grandes équipes du Football club de Grenoble rugby des années 1980 et 1990.

Quincieu dans les arts[modifier | modifier le code]

Au cinéma[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Quincieu possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f Éric Tasset, Châteaux forts de l'Isère, Éditions de Belledonne, Grenoble, 2005, pp.413-414. (ISBN 2-911148-66-5).
  2. Site geoglaciaire.net les paysages galaciaires, "Origine du plateau de Chambaran", consulté le 22 février 2019
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Quincieu et Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Extrait des décisions de la Commission Permanente. Séance du - Dossier n° 2014 C11 C15 16. Avis du département sur la révision zone vulnérable « nitrates » en Isère
  15. Marianne Boileve, Zones vulnérables : les agriculteurs isérois recensent les arguments pour faire déclasser certaines communes, www.terredauphinoise.fr, (accès le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. Site géoportail, page des cartes IGN
  18. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  19. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  20. a b c d e f g h et i Association des amis du vieux Tullins et de son canton, Gilbert Veyret (dir.), Quincieu : un petit villagemais une longue histoire, Regards : la revue d'histoire du Pays de Tullins, n. 9, novembre 2000 ; pp. 23-25.
  21. Jean-Marie Pardessus (dir.), Diplomata chartae, epistolae, leges aliaque instrumenta ad res Gallo- Francicas spectantia: Instrumenta ab anno 628 ad annum 751, tome II, Typographeum Regium, 1849, p. 372 (Google Livres), cit. en Henri d'Arbois de Jubainville, Recherches sur l'origine de la propriété foncière et des noms de lieux habités en France (période celtique et période romaine), E. Thorin éditeur, Paris, 1890 , p. 157 (Gallica).
  22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, 1990, (ISBN 2600028838) p. 533 (Google Livres)
  23. Florian Mazel, L'espace du diocèse: Genèse d'un territoire dans l'Occident médiéval (Ve – XIIIe siècle), Presses universitaires de Rennes, 2008, p. 273. (ISBN 2753506256) (Google Livres).
  24. Ulysse Chevalier, "Étude historique sur la constitution de l'église métropolitaine et primatiale de Vienne en Dauphiné (origines-1500)", Bibliothèque liturgique, volume 21 , éd. Desclée, 1922, p. 52.
  25. (Aurélie et Bouilloc 1999, p. 3).
  26. a et b Charte Forestière de Territoire des Chambaran – Gal Leader+ Chambaran & Sylvestre VOISIN, mai 2007 (accès le ).
  27. Quincieu sur le site du Dauphiné libéré (accès le ).
  28. Site mon-maire.fr, page sur le conseil municipal de Quincieu, consulté le 22 novembre 2018
  29. « operations.evenement.lemonde.f… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Site du journal des femmes, page sur les écoles de Quincieu, consulté le 8 avril 2019
  35. Sire du diocèse de Grenoble-Vienne, page sur la paroisse Saint-Joseph des deux rives, consulté le 23 février 2019
  36. V. Brunet, Géographie historique, physique, politique, industrielle, commerciale, statistique et pittoresque du département de l'Isère, Grenoble, Prudhomme, (lire en ligne), p. 87.
  37. C.R., À Quincieu, les noyeraies sont endommagées, Le Dauphiné Libéré, (accès le ).
  38. Isabelle Doucet, Fermier et IGP : la combinaison gagnante, http://www.terredauphinoise.fr/, (accès le ).
  39. [1]
  40. Association des amis du vieux Tullins et de son canton, Gilbert Veyret (dir.), Une église dans les siècles : Notre-Dame de Quincieu, Regards : la revue d'histoire du Pays de Tullins, n. 10, avril 2001 ; p.24-25.
  41. Association des amis du vieux Tullins et de son canton, Gilbert Veyret (dir.), Lieux de mémoire : nos monuments aux morts : 1914-1918 : en hommage aux 282 jeunes du canton morts à la guerre : à Tullins, Cras, Montaud, Morette, Poliénas, Quincieu..., Regards : la revue d'histoire du Pays de Tullins, n. 22, juin 2007 ; p.18-22.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Gilbert Veyret (dir.), « Quincieu: petit village mais longue histoire. Que faisaient les romains, il y a 2000 ans à Quincieu, petit village de 73 habitants? », Regards : la revue d'histoire du Pays de Tullins, Association des Amis du vieux Tullins et de son canton, n. 9. ISSN 1777-0823
  • Aurélie Bouilloc, 4 E 435 Quincieu : sous-série 4 E (dépôt des communes), Archives départementales de l'Isère, (lire en ligne)
  • Liste des communes de l'Isère

Liens externes[modifier | modifier le code]

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